La révolution industrielle a donné le jour à un nouveau rythme de travail, un rythme libéré du labeur des Hommes et accéléré par le tempo des machines, plongeant le monde dans un âge d’innovation sans limite. Dans ce tourbillon de progrès, le revers de la médaille ne tarda pas à voir le jour (réchauffement climatique, inégalités, injustices…). Les populations devinrent de plus en plus soucieuses de l’avenir et de la place de l’être humain dans des secteurs fortement industrialisés et lucratifs.
Évoquée la première fois en 1953 dans la littérature Nord-américaine, la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est aujourd’hui une notion incontournable pour les organisations (grandes entreprises, PME et TPE). En effet, la RSE est une démarche qui profite non seulement à l’entreprise et à son environnement, mais également aux collaborateurs et à leurs performances.
Pourquoi une politique de RSE ? Et quelles bonnes pratiques pour la mettre en place ?
1. Qu’est-ce que la RSE ?
1.1. Définition
La RSE désigne un ensemble d’actions qui s’insère dans une démarche volontaire visant à intégrer les dimensions du développement durable (dimension sociale, économique et écologique) dans l’activité des entreprises et dans leur écosystème (partenaires et des collaborateurs…).
Il s’agit de contribuer aux 3 dimensions du développement durable :
L’international Organisation for Standardisation définit la RSE comme « la responsabilité d’une organisation vis-à-vis des impacts de ses décisions et activités sur la société et sur l’environnement, se traduisant par un comportement éthique et transparent qui contribue au développement durable, y compris à la santé et au bien-être de la société ».
D’un autre côté, l’Union Européenne souligne dans sa définition le fait qu’ « Être socialement responsable signifie non seulement satisfaire pleinement aux obligations juridiques applicables, mais aussi aller au-delà et investir «davantage» dans le capital humain, l’environnement et les relations avec les parties prenantes ».
1.2. RSE et développement durable : deux notions différentes !
Les notions de responsabilité sociétale de l’entreprise (RSE) et du développement durable (DD) sont sur toutes les lèvres mais sont utilisées à tort comme substituables. Bien que les deux notions reposent sur les mêmes 3 dimensions (sociale, économique et écologique) il convient de les distinguer.
Le développement durable (DD) est une notion globale qui s’adresse à toute la société. En revanche, la notion RSE transpose les objectifs et les dimensions du DD au monde professionnel ou associatif et s’adresse uniquement aux entreprises.
Toute entreprise tendant à atteindre les objectifs du DD exerce une politique RSE et non une politique de développement durable.
1.3. BDESE et RSE
En vigueur depuis le 24 août 2021, la loi climat et résilience a permis le passage de la Base de Données Économiques et Sociales (BDES) à la Base de Données Économiques, Sociales et Environnementales (BDESE).
Cette transition écologique, oblige les entreprises (d’au moins de 50 collaborateurs) à évaluer les conséquences environnementales de leurs activités en impliquant le Comité Social et Économique (CSE).
L’intégration d’un volet écologique dans la BDESE, souligne encore plus l’importance de la mise en place d’une politique de RSE soucieuse des enjeux environnementaux et d’adopter des pratiques « eco-friendly » pour verdir son activité et répondre aux requêtes du CSE conformément à la loi.
1.4. Ce n’est pas de la RSE !
Adopter une démarche RSE, c’est aller au-delà des obligations juridiques communes pour contribuer par ses propres initiatives au développement durable.
La RSE se présente ainsi comme un concept et une pratique non-juridique. Une organisation qui se conforme aux obligations d’intégrité et d’anti-corruption ou qui s’applique à assurer la sécurité de ses collaborateurs et à respecter les normes concernant le travail des enfants, n’est pas une entreprise dotée d’une démarche RSE, mais une entreprise qui se conforme aux lois en vigueur.
2. La RSE, pourquoi ?
2.1. Œuvrer pour un monde plus durable et plus équitable
Selon le philosophe et historien allemand, Hans Jonas, le modèle économique de l’Occident ne pourra se développer ou survivre s’il ne devient pas plus respectueux vis-à-vis de l’environnement. Il confère alors à l’humain la responsabilité d’assurer l’avenir pour les futures générations.
En adoptant une politique de RSE l’entreprise contribue ainsi à l’épanouissement de l’être humain et réduit les conséquences de la crise écologique, économique et sociale dont il est responsable (réchauffement climatique, inégalités entre les pays développés et en développement, insécurité alimentaire, une biodiversité et des ressources rarifiées…)
La RSE permet ainsi de réduire l’empreinte de l’être humain sur l’environnement et de remédier aux inégalités économiques et sociales.
2.2. Renforcer sa marque employeur
Nous entrons réellement dans un nouveau paradigme orienté vers l’humain. En effet, les entreprises sont appelées aujourd’hui à se doter d’un rôle qui va au-delà de la prospérité économique et qui s’intéresse aux enjeux réels de la population.
Dans un contexte marqué par la pollution, la pandémie, les inégalités… les candidats et les collaborateurs sont plus que jamais soucieux de l’avenir de l’humanité. Ainsi,13 000 étudiants des grandes écoles françaises ont signé en 2018, un manifeste dans lequel ils s’engagent à ne pas travailler pour des entreprises qui nuisent à l’environnement. Ces dernières sont souvent désorientées face à des candidats qui choisissent un employeur en fonction de leurs valeurs morales.
C’est pourquoi, plusieurs organisations adoptent une démarche RSE pour se distinguer sur le marché du travail et construisent une image et une réputation qui reflètent des valeurs nobles telles que la transparence, la solidarité, le respect de l’écologie et l’équité.
2.3. Donner du sens pour mieux performer
Le travail occupe la majorité du quotidien, il est donc naturel de se livrer à une quête philosophique et personnelle pour donner ou trouver du sens à ce que l’on fait.
Pourquoi j’effectue ce travail ? Pour avoir un revenu ? Est-ce que j’aime mon travail ? Suis-je en train d‘enrichir mon patron ou suis-je en train de contribuer au bien-être de l’humain et du mien ? Les efforts que je dépense chaque jour valent-ils la peine ? Des questions légitimes qui se posent et qui peuvent influencer le moral et la performance du collaborateur.
Instaurer une démarche RSE permet d’insuffler un sens et de donner une noble cause pour travailler, ce qui améliore par conséquent la productivité et la performance du personnel.
En mettant en place des initiatives pour lutter contre les injustices, pour préserver la planète, pour assurer l’équité économique… l’entreprise se dote d’une mission qui va au-delà de l’abondance économique. Animé par une foi en ce qu’il fait et par le bien-être qui va en découler, le collaborateur donne le meilleur de lui-même. Il ne travaille plus uniquement pour une rémunération mais également pour une cause à laquelle il croit.
Il faut noter que la RSE perd tout son sens si le management néglige le bien-être des collaborateurs. Celui-ci doit être, en effet, en cohérence avec la culture et s’assurer d’avoir une bonne qualité de vie en interne avant de s’ouvrir sur l’extérieur.
2.4. Améliorer la rétention
Que de mieux que de travailler dans une entreprise qui partage ses valeurs morales et qui œuvre pour le bien commun ? Les collaborateurs sont soucieux des problématiques universelles (guerres, exploitation, inégalités…). En adoptant une démarche RSE, l’entreprise développe l’engagement et le sentiment d’appartenance de son personnel.
En effet, valoriser les droits humains et la diversité, mettre en place des bonnes conditions de travail, préserver l’environnement… suscitent une fierté chez les collaborateurs. Ces derniers sont conscients de la valeur de leurs contributions au bien-être de la population et sont plus épanouis dans leur travail.
Étant convaincus de l’importance de la mission de leur entreprise, les collaborateurs sont moins enclins à démissionner. Ils préfèrent ainsi rester dans une organisation qui partage des fortes valeurs morales et leur offre l’opportunité de participer de façonner un monde meilleur.
3. La RSE en pratique !
De plus en plus d’organisations sont séduites par le concept RSE. Toutefois la mise en place d’une telle stratégie requière une attention et un savoir-faire pointu. En effet, le déploiement d’une démarche RSE est étroitement lié au contexte et aux spécificités de chaque structure. Ci-après un ensemble de bonnes pratiques pour optimiser la mise en place d’une politique RSE.
3.1. Sélectionner le(s) chargé(s) de projet
Avant d’entamer toute action, il convient de désigner un ou des responsables de la politique RSE. Il est possible de promouvoir un nouveau poste pour un responsable RSE (RRSE) ou de désigner un ou des collaborateurs internes comme responsables (à condition qu’ils soient correctement formés).
La sélection d’un chargé de projet RSE est une étape décisive. Le responsable est appelé à :
- Planifier des stratégies et proposer des actions RSE à entreprendre
- Intégrer la démarche RSE à l’ensemble de l’entreprise.
- Suivre et surveiller la mise en œuvre des actions
- Motiver le personnel à embrasser les pratiques RSE
- Occuper le rôle de principal interlocuteur RSE
3.2. État des lieux
Une analyse préalable permet d’évaluer la maturité RSE de l’entreprise, de mettre en lumière les priorités et les urgences, les domaines sur lesquels opérer, les actions à mettre en place, ainsi que les résultats qui se présentent comme faciles à atteindre.
Pour cela, l’entreprise dispose de deux modalités, le choix dépend du budget alloué au projet :
Le diagnostic n’est pas une mission solitaire, mais il se construit de manière collaborative. Il est ainsi recommandé d’impliquer les collaborateurs, les fournisseurs, les partenaires, les actionnaires, le pouvoir public ou encore les associations. Le but est d’analyser les attentes des parties prenantes et de les impliquer pour dégager des potentielles pistes de collaborations et d’amélioration RSE.
Une fois achevé, le diagnostic servira comme socle à l’élaboration de la stratégie et renforcera l’éligibilité de toute action entreprise.
3.3. La norme ISO 26000
Élaboré en 2010 par l’Organisation Internationale de Normalisation (OIN), la norme ISO 26000 représente une véritable référence dans l’élaboration des stratégies RSE. Celle-ci est adaptée à toutes les tailles d’entreprise et explicite :
- Les termes et les concepts RSE
- Les caractéristiques et les orientations
- Les principes et les pratiques RSE
- Les questions centrales et les domaines d’action
- La promotion et l’intégration des comportements RSE dans les organisations
- Les parties prenantes
- La communication RSE
Afin d’identifier le périmètre d’action RSE, il convient de se pencher sur les 7 questions centrales présentées par l’ISO 26000. Ces questions représentent des pistes sociales, économiques et écologiques sur lesquelles l’entreprise peut opérer. Chaque piste comporte plusieurs domaines d’action.
- Le devoir de vigilance
- Les situations présentant des risques pour les droits humains
- La prévention de la complicité (la complicité consiste à participer ou à faciliter la réalisation d’un acte illégal ou répréhensible)
- Résoudre les atteintes aux droits humains
- Les discriminations des catégories vulnérables
- Les droits politiques et civils
- Les droits économiques, sociaux et culturels
- Les principes fondamentaux et le droit au travail
- La lutte contre la corruption
- L’engagement politique responsable
- La concurrence loyale
- La promotion de la responsabilité sociétale
- Le respect des droits de propriété
- Les emplois et les relations entre les collaborateurs
- Les conditions de travail et de protection sociale
- Le dialogue social
- La santé et la sécurité au travail
- Le développement des collaborateurs
- Les pratiques loyales en matière de marketing, d’information et de contrat
- La protection de la santé et la sécurité des consommateurs
- La consommation durable
- Le service après-vente et la résolution des réclamations et des litiges des consommateurs
- Le respect des données privées
- L’accès aux services essentiels
- L’éducation et la sensibilisation
- La pollution
- L’utilisation des ressources naturelles
- La réduction des changements climatiques
- La préservation de l’environnement et de la biodiversité
- L’implication auprès des communautés
- L’éducation et la culture
- La création d’emplois et le développement des compétences
- Le développement de la technologie et l’accès à cette dernière
- La création de richesses et de revenus
- La santé
- L’investissement dans la société
3.4. Des objectifs bien SMART !
Avant d’élaborer une stratégie RSE, il faut s’assurer d’avoir fixé des objectifs cohérents en suivant la méthode SMART.
3.5. Les SIRH pour appuyer la politique RSE
En plus d’être un outil d’optimisation et de fluidification des processus RH, les SIRH peuvent se présenter comme un levier soutenant la politique RSE de l’entreprise.
A. Un monde avec zéro papier !
Produire une feuille de papier en format A4 nécessite en moyenne 5 litres d’eau ! En cette ère de digitalisation, de nombreuses entreprises ont décidé de digitaliser leur processus RH pour diminuer l’usage du papier.
La dématérialisation et la centralisation sont les maîtres-mots d’un SIRH. Ce dernier permet à l’entreprise de réduire l’utilisation des intercalaires, des classeurs, des dossiers, de l’imprimante, etc.
Dans une perspective écologique, la digitalisation renforce la politique RSE et lui donne l’élan pour se développer dans l’entreprise.
B. Suivi des indicateurs clés RSE
En vue de respecter et de valoriser l’égalité social et économique au sein de l’entreprise, les SIRH offrent un panorama clair et chiffré pour surveiller son capital humain sur les questions des droits de l’Homme et de l’égalité.
En effet, un SIRH mesure automatiquement et présente sous formes de graphique des analyses du personnel en se basant sur des indicateurs précis :
- Égalité homme-femme (écart de rémunérations, répartition des promotions, le nombre des femmes et des hommes)
- Diversité des équipes (le pourcentage des collaborateurs en situation de handicap, répartition par région, pays, âge…)
- Conditions de travail et santé (heures travaillées, QVT, accident de travail, absentéisme…)
- Le type de contrats dominant (CDD, CDI, stage, contrat aidé…)
- Indice de formation (nombre des collaborateurs ayant suivi une formation, type de formation)
- Le nombre d’embauche et de licenciement
C. Formation et acculturation RSE
Une politique RSE est un générateur de valeurs et de nouvelles pratiques. Il est donc naturel lors de la mise en place de la stratégie RSE de remettre en question les pratiques existants.
Des comportements éco-friendly, des rituels valorisant les droits humains, le soutien de l’économie locale grâce à des actions de sous-traitance… l’instauration d’une politique RSE exige une formation du personnel. Le but est d’acculturer les collaborateurs à des nouveaux concepts et à des nouvelles pratiques pour intégrer la culture RSE dans toutes les strates de l’entreprise.
Les SIRH peuvent faciliter la planification et la mise en place d’un processus de formation standard et homogène au profit des collaborateurs. En effet, le collaborateur peut formuler par lui-même et en un clic des demandes de formation. Le manager peut également affecter ses collaborateurs à une formation. Quant à la RH, elle reçoit les demandes et planifie les actions de formation en optimisant le pilotage des budgets.
Résultat : des processus de formation RSE fluides, mieux planifiés et mieux ciblées !
D. Évaluation et enquête
Adopter une politique RSE, nécessite une évaluation et une analyse des pratiques et de la QVT perçue par les collaborateurs. Cela permet non seulement de s’assurer que les valeurs et les comportements RSE sont adoptés par les employés mais aussi de mettre en lumière la qualité de vie au bureau (la QVT et les conditions de travail font partie des questions de la RSE).
Un SIRH permet d’élaborer en toute simplicité des questionnaires, des enquêtes, des sondages… personnalisables et de dresser les résultats sous forme de graphiques et de statistiques. Cela représente ainsi un moyen efficace pour analyser et mesurer avec agilité et exactitude l’intégration de la culture RSE et la QVT.
Les enquêtes sont également utiles pour collecter les suggestions et les besoins RSE de tous les collaborateurs pour les impliquer dans une démarche collective.
3.6. Communiquer sur la RSE
La transparence est l’un des 7 principes RSE. Après avoir mis en exécution son plan RSE, l’entreprise a le devoir de publier en toute transparence les données relatives aux conséquences (environnementales, sociétales et économiques) de son activité et à ses initiatives RSE.
Communiquer en interne et en externe permet non seulement de valoriser et de faire respecter la nouvelle culture RSE, mais aussi de récolter les bienfaits des actions (image, attractivité, amélioration de la rétention…)
Selon l’article L.225-102-1 du Code de commerce, ces entreprises sont obligées par la loi d’inclure une déclaration de performance extra-financière dans le rapport de gestion annuel :
- Les entreprises cotées ayant plus de 500 collaborateurs et dont le bilan dépasse les 20 M€ ou dont le chiffre d’affaires est supérieur à 40 M€
- Les entreprises non cotées ayant plus de 500 collaborateurs et dont le bilan ou le chiffre d’affaires est supérieur à 100 M€
Le reporting extra-financier doit comprendre ces points :
- L’impact sociale et sociétale
- L’impact environnementale
- Le respect des droits de l’Homme (pour les entreprises cotées)
- L’intégrité et la lutte contre la corruption (pour les entreprises cotées)
3.7. Le greenwashing, quand Pinocchio s’habille en vert !
Le greenwashing, appelé également écoblanchiment, est un phénomène qui désigne les entreprises qui se préoccupent de l’écologie uniquement à des fins marketing. Le but de celle-ci est de se doter d’une image illusoire de responsabilité environnementale.
Les entreprises qui pratiquent le greenwashing ont une vision superficielle de la RSE. Leur engagement génère un changement minime, car le but principal de leur politique RSE consiste à améliorer l’image de la structure.
Par conséquent, ces organisations ont développé un scepticisme chez les publics (collaborateurs, consommateurs, partenaires…) qui a impacté les entreprises véritablement écologiques.
Pourtant, le greenwashing est régi par un cadre juridique :
- La loi 121-1 du Code de la consommation : une loi qui sanctionne toute publicité mensongère ou susceptible d’induire le public à l’erreur.
- Les recommandations déontologiques de l’ARPP : l’Agence de Régulation Professionnelle de la Publicité établit des règles d’éthique applicables à la communication publicitaire.
- La norme ISO 14021 : elle vise à garantir la pertinence de toute auto déclaration environnementale et de l’usage des termes comme « Recyclable » ou « Consommation réduite d’énergie » ou des symboles, mentions, graphiques…
Les ONG et les associations ont également mis en place des dispositifs pour dénoncer les entreprises qui pratiquent le greenwashing. À titre d’emple, en France, l’association Les Amis de la Terre discerne le Prix Pinocchio, aux entreprises qui « verdissent » leur communication et dont l’activité impacte sévèrement l’environnement.
En plus de pervertir une noble cause comme l’écologie, le greenwashing peut réellement détruire la réputation d’une entreprise.
Conclusion
Les entreprises, en quête de gains matériels, tendent à négliger un rôle principal. Celui de contribuer au bien-être de l’humain. Dans un environnement marqué par un capitalisme agressif, les collaborateurs ainsi que certaines entreprises sont de plus en plus préoccupés par l’avenir.
Avec la responsabilité sociétale des entreprises, c’est au secteur économique de prendre part dans l’édification d’un cadre respectueux à l’environnement, à la justice sociale et à l’économie équitable. La RSE se présente ainsi comme une initiative avantageuse aussi bien pour l’entreprise et le collaborateur et un espoir pour la population en général.
En comprenant que ce monde est un seul lieu que nous partageons tous, il faut accepter la responsabilité de nos actes et que les décisions d’aujourd’hui auront un impact durable sur le présent et le futur.